Après la frayeur du crack banquaire de l'an passé, on ne doit pas oublier que se sont nos conditions d'existences qui ont été remis en cause.
C'est notre altérité, qui en a pris un coup dans l'aile mais la vérité, elle était déjà malade.
Si on en profitais pour poser les choses et tenter de trouver des solutions,faire un bilan se retrouver face aux conséquences de nos actes n'est pas une attitude de négative. Elle nous oblige à tenter de remettre les choses à plats afin de les changer.Je dis que si le système économique basé sur la spéculation boursière, le dumping social, fiscal est source de difficultés qui ne vont qu'en s'aggravant.
Il faut songer puis trouver les applications pour imposer une autre logique, d'autres règles à invente ou du moins faire remonter quelque unes... des pistes :.... l'économie sociale et solidaire, l'entrepreneur social voir Amartya SEN Prix Nobel pour son travail sur l'économie du bien-être, Allez réfléchir la politique avec Badiou, le dévloppement de l'agriculture bio-dynamique ( P. Rabbih) ...
SI on essayent plutôt que d'avoir peur, de réfléchir à la place de l'Homme dans le monde !
C'est une question car mon avis c'est qu'il nous faut parvenir à allier un développement durable avec une considération de l'Homme dans son environnement.
(pourquoi , les normes de Haute Qualité Environnementale pour la construction, c'est bien. Mais à quoi ça sert si seulement 20% de la population peut y accéder ? et en plus il s'agit de ceux qui s'enrichissent alors que l'égard entre les + riches et les + pauvres n'a jamais été aussi important. )
L'homme doit " pouvoir Vivre Debout " dans son environnement en considérant la protection et l'équilibre écologique, économique.
Nous avons aussi le devoir d'accueil des populations.
Pour cette année je formule le voeux : d'un nouvel espoir réel celui d'un monde meilleur !
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